Programme national de réduction du tabagisme

MILDECA - Sept. 2014

À la demande du Président de la République lors de la présentation du Plan Cancer 2014-2019 en
février dernier, Marisol TOURAINE, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, a présenté le 25 septembre en Conseil des ministres un plan ambitieux pour lutter contre le fléau du tabagisme en France. Ce « Programme national de réduction du tabagisme » (PNRT) comprend des mesures choc articulées autour de trois axes d’intervention prioritaires : protéger les jeunes, aider les fumeurs à arrêter et agir sur l’économie du tabac.
  • d’abord protéger les enfants et les jeunes avec l’adoption des paquets de cigarettes neutres pour les rendre moins attractifs, l’interdiction de fumer en voiture en présence d’enfants de moins de 12 ans, l’interdiction de fumer dans les espaces publics de jeux pour enfants et - pour les cigarettes électroniques - l’encadrement de la publicité et l’interdiction du vapotage dans certains lieux publics.

L’usage de sulfate de morphine par les usagers de drogues en France

OFDT - Juil. 2014

L'usage du sulfate de morphine hors du cadre thérapeutique prévu n'est pas un phénomène nouveau. Cependant, au cours de la décennie 2000, il apparaissait relativement maîtrisé, localisé géographiquement et fluctuant au cours du temps. Depuis 2011 environ, on observe un accroissement de la demande qui est loin d'être homogène mais s'étend géographiquement. Cette hausse de la demande s'accompagne de plus en plus fréquemment de fortes pressions, en particulier auprès des médecins généralistes, qui ne sont pas toujours en capacité de résister. 
Tel est le constat dressé par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), dans une note destinée à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).

E-cigarette : Moindre mal pour les fumeurs





Santé Log - 3 août 2014

Cet examen de chercheurs de l’Université Queen Mary de Londres suggère ainsi, pour les déjà fumeurs de tabac, un rapport bénéfice-risque positif de l'e-cigarette, tout en reconnaissant que ses effets de long terme sur la santé ne sont pas connus. Ce rapport vaut donc pour les fumeurs seulement. Les conclusions des chercheurs vont même jusqu'à remettre en question une réglementation de la vente de l’e-cigarette aussi stricte que pour la cigarette classique, faisant état des données actuelles démontrant cette moindre nocivité pour les fumeurs.

Place du baclofène dans la prise en charge Thérapeutique du sevrage alcoolique en 2013

A lire, une thèse soutenue pour le diplôme d'Etat de docteur en pharmacie le 14 mai 2014 par Monsieur Mériadec Prévoteau du Clary. Lire  la thèse

Expérimentation pour six ans des salles de shoot

Agence France Presse - 1er sept. 2014

L'avant projet de loi relatif à la santé prévoit une ouverture des salles de consommation de drogue à moindre risque (SCMR) ou "salles de shoot" "à titre expérimental et pour une durée de six ans". Le texte précise que la supervision des usagers de stupéfiants et autres substances psychoactives, consiste à "mettre en garde les usagers contre les pratiques à risques, à les accompagner et leur prodiguer des conseils (...) afin de prévenir ou réduire les risques de transmission des infections et les autres complications sanitaires". Les professionnels ne participeront pas "aux gestes de l'injection".

Il paraît que...” Les idées reçues sur la cigarette électronique ou vaporisateur personnel"


L'AIDUCE -Association Indépendante Des Utilisateurs De Cigarette Electronique- se donne pour mission la défense du vaporisateur personnel (VP), plus communément appelé cigarette électronique. Elle défend sa diversité et son potentiel d’évolution ainsi que son utilisation libre de contraintes injustifiées et œuvre avec les instances nationales pour sécuriser la qualité des produits actuellement disponibles et ceux à venir.

Pour aider à répondre aux diverses contrevérités et pour simplifier le discours, elle met à disposition deux documents : Il paraît que... "Les idées reçues sur la cigarette électronique ou vaporisateur personnel" en format livret et en format affice A3.

L’abus d’alcool vers 30 à 40 ans altère la mémoire des années après

Medescape.fr - 5 août 2014

Exeter, Royaume-Uni – Les problèmes d'alcool entre 30 et 40 ans augmentent significativement le risque de pertes de mémoire sévères plus tard dans la vie, selon une étude publiée en ligne dans l'American Journal of Geriatric Psychiatry [1].
Le risque serait plus que doublé 20 ans plus tard.
Cette relation ne semble pas médiée par l'hypertension, les antécédents de maladies cardiovasculaires ou les traumatismes crâniens, indiquent les auteurs, le Pr Iain A. Lang et coll. (University of Exeter Medical School, Royaume-Uni).

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